PORTRAIT #20
Laurent
Optic 2000
22 rue Victor Hugo
L’envie d’être opticien est née progressivement, d’abord en tant que porteur de lunettes depuis ma jeune enfance, puis en voulant exercer une profession paramédicale. Pour moi le métier d’opticien consiste à donner du confort visuel tout en donnant un maximum de plaisir au porteur sur le plan esthétique. C’est aujourd’hui encore ce que j’aime le plus dans mon métier. Natif des Hauts-de France, j’ai exercé mon métier à Dijon, l’opportunité de reprendre il y 22 ans le magasin de Mr et Mme Gourdant à Paray le Monial m’a amené à découvrir cette ville que je ne connaissais pas. Je n’ai pas hésité bien longtemps à reprendre ce magasin historique dans une ville où nous avons eu envie d’élever nos enfants.
Optic 2000 est une coopérative, elle appartient aux 1200 opticiens qui la composent et qui prennent les décisions majeures. J’ai eu le grand plaisir d’en avoir été l’un de ses dirigeants ces 12 dernières années. Mes collaboratrices sont ma fierté, elles sont toutes opticiennes diplômées et reconnues pour leur sens de l’accueil et de l’accompagnement. Elles prennent part à quasiment toutes les décisions majeures qui concernent l’activité. Nous sommes très heureux d’avoir formé Mathilde, qui après deux années d’apprentissage chez nous a obtenu son diplôme en juin. C’est une nouvelle recrue qui a parfaitement intégrée l’esprit maison ! Ce recrutement devrait nous permettre de développer des services que nous proposons timidement aujourd’hui : lunettes pour le sport, ventes et livraisons à domicile pour les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap.
J’ai fait partie du bureau de l’Union Commerciale il y a 22 ans, aux débuts de la carte Paray j’y vais, pas suffisamment longtemps à cause de trop nombreux déplacements Optic 2000 à travers la France. C’est une association indispensable pour bien des animations commerciales, mais aussi pour les manifestations festives.
Si j’étais une saison, je serais l’été.
Si j’étais un objet, je serais les Ray Ban solaires de Jack Nicholson dans « Easy Rider ».
Si j’étais un lieu de Paray-le-Monial, je serais la voie verte.
Si j’étais un rêve d’enfant, je parlerais toutes les langues.
Si j’étais une chanson, je serais « Shine on you crazy diamonds » de Pink Floyd.
Si j’étais une animation UCIA, je serais la Nuit Blanche.