PORTRAIT #8

Valérie et Thibaut

Cré’Art Piscine 

7ter Quai de l’industrie

En 2020 après une reconversion professionnelle Thibaut crée Cré’Art Piscine. Nous nous connaissons depuis une 20aine d’années alors c’est avec grand plaisir que je l’ai rejoint dans l’aventure, au début à mi temps pour gérer la partie administrative. En parallèle, j’ai continué mon métier d’agent immobilier. Puis j’ai suivi une formation technique piscine Magiline, pour faire de la vente et du conseil client. J’ai ensuite décidé de me consacrer totalement à Cré Art Piscine et d’arrêter l’immobilier. Pisciniste est un métier qui me passionne car on accompagne les gens dans leur projet, autour de la famille, du bien être et de la détente. On crée des liens avec un suivi suivies à long terme, on entre dans leur intimité pour les conseiller au mieux : orientation de la piscine, adaptation aux besoins et aux envies, embellissement et aménagement du paysage, tout cela avec des contraintes techniques et esthétiques. Nous sommes en perpétuelle recherche pour proposer à nos clients la piscine la plus autonome et économique possible : bref, la piscine de demain. Maintenant avec Thibaut nous sommes associés et totalement complémentaires. Thibaut s’occupe en priorité de la vente et des suivis de chantiers et moi du magasin, administratif et accompagnement. Et bien sûr avec l’appui indispensable de notre équipe de maçons et techniciens ! 

J’ai rejoint l’UCIA  pour participer à la vie du commerce local et aux animations. C’est un groupe de bénévoles volontaires, dynamiques, créatifs et dans l’égalité du lien, dans lequel on se sent libre d’exprimer nos opinions et nos idées. C’est une association riche en partages qui est en perpétuelle recherche de solutions pour animer la ville et les commerces. Je suis restée quelques années en retrait, volontaire et observatrice; ayant le job totalement adapté à la fonction : je deviens la nouvelle trésorière de l’association. 

Si nous étions une saison, nous serions l’été.

Si nous étions un objet, Thibaut serait un voilier et moi un parachute.

Si nous étions un lieu de Paray-le-Monial, Thibaut serait son magasin et moi la halte nautique.

Si nous étions un rêve d’enfant, Thibaut serait un adulte (mais plus maintenant) et moi une boutique sur les Champs Élysées .

Si nous étions une chanson, Thibaut serait « Where the streets have no name » de U2 et moi « Ella, elle l’a » de France Gall .

Si nous étions une animation UCIA, Thibaut serait la Nuit Blanche et moi Paray des années 30.